Avec « Porta Palazzo, à l’ombre des bonnes », c’est l’Italie du Nord de l’immédiat après-guerre, où affluent les petites gens accourus des régions déshéritées, que fait revivre Rossana Cambi à travers le défilé des bonnes auxquelles l’abandonnait une mère réfractaire aux tâches ménagères.