Tout le livre échappe à la banale anamnèse d’une différence sexuelle pour dégager celles de l’étranger (Jorge à Genève, puis le narrateur à Lisbonne) et de son histoire, de sa culture et de sa langue, de son corps et de ses rêves, de la « musique » enfin qui distingue chacun de son « semblable », de la musique du livre aussi qui marque la différence de toute bonne littérature…