MignatteLe Copiste aux eaux
« Encore une histoire de manuscrit trouvé ! Il faut croire que je les attire ! (…) Le fait est qu’après le journal du « Copiste de Monsieur Beyle », exhumé à la Bibliothèque de Grenoble, après le « Livre de remarques » du Notaire Chappuis, découvert dans mon grenier, après la correspondance de mes oncles et de ma tante d’Amérique, retrouvée dans mon village d’origine (voir « Papiers de famille »), après bien d’autres trouvailles sur lesquelles je passe, j’ai eu la chance de retomber récemment sur un nouveau manuscrit qui s’est avéré n’être pas moins que la suite du journal du copiste de Stendhal ! »
Dans Le Copiste aux eaux, nous retrouvons le héros du premier roman d’Ernest Mignatte, Le Copiste de Monsieur Beyle. Mais l’aventure étonnante qu’il vit n’a plus aucun lien avec celle de l’écrivain dictant La Chartreuse de Parme. Nous sommes à la fin du XIXe siècle. Le copiste reçoit une lettre d’Adèle, son épouse morte depuis plus de dix ans qui l’invite à la rejoindre à Loèche-les-Bains. Il s’y rend au plus vite, persuadé qu’Adèle est transformée en morte-vivante. S’ensuit une histoire fantastique où des curistes venus prendre les eaux dans les alpes valaisannes, tous férus de magnétisation et de tables tournantes, se livrent à des expériences nécromantiques qui font surgir toutes sortes de fantômes. Ils se mettent à la recherche d’Adèle. Parviendront-ils à la retrouver ?
Livres & mots Ernest Mignatte, « Le copiste aux eaux » |
La Liberté « Parodique, drôle, teinté de satire » |
Le Courrier « Fantômes et eaux thermales » |
L'Hebdo « Une fable ludique et stylée » |
Tribune de Genève « Un auteur rare » |
Jura l'original Ernest Mignatte, romancier reconnu ! |